Les faits remontent au 30 novembre dernier . Selon le communiqué de l'association SOS PRISONNIERS , le président de ladite association par ailleurs députés de l'Assemblée nationale de la transition aurait été sorti de la Prison Centrale de Libreville par des gardes après avoir été empoigné au cou par le Général de brigade  Jean Germain Effayong Onong. 

Une scène invraissemblable qui remet au goût du jour les violences et les abus de pouvoir  des forces de l'ordre .Contacté par notre rédaction, le conseiller en communication du ministère de la justice découvrait avec nous l'information.

Des interrogations autour des faits de violations 

Le président de SOS PRISONIERS  et son équipe dorénavant qualifiés de persona no grata à la prison centrale de Libreville  accusés à tord ou à raison d'apporter le trouble au sein de l'administration pénitentiaire  mais pas que puisque ce dernier craint aujourd'hui  pour sa vie et celle de ses collaborateurs .

Lionnel Engoga s'interroge aujurd'hui sur le respect de la loi par ceux qui sont censé l'incarner en premier .

L'article 8 de la même Charte dispose "  (...) aucune situation d'exception ou d'urgence ne doit justifier les violations des droits humains."  L'article 10 dit: "la personne humaine est sacrée. Toute personne a droit au respect de son intégrité physique et morale (...)"   L'article 11 "Nul ne peut faire l'objet de tortures, de peines ou traitements cruels, dégradants ou inhumains." 
 

Affaire à suivre 

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